Après moultes hésitations et tergiversations, ne sachant trop si nos livres pouvaient trouver ou non une place dans ce site en principe dédié à notre projet de voyage, nous avons fini par décider qu’après tout...
Pourquoi pas ?
Quelques curieux, titillés par la vague présentation que nous en avions déjà fait, ont manifesté le désir d’en savoir plus.
Alors... Pour ceux que ça pourrait intéresser...

LES LIVRES D’ANNE

CHEVAL SOLEIL
Prix du Roman Jeunesse 2000
paru chez Hachette en 2001

La vie mouvementée d’un étalon sauvage à la robe d’or, en Amérique du Nord, à la fin du dix-neuvième siècle. Tout en restant libre, il se lie d’amitié avec un jeune Cheyenne infirme. Ensemble, ils empruntent le chemin de la rébellion.

Ce roman a inspiré un superbe dessin animé réalisé par Jean-Jacques Prunès pour les films de l’Arlequin, FR3 éditions, dans la collection « les grands textes de l’enfance »

● Prix du Meilleur Film TV Festival Animadrid 2004
● Prix du Meilleur Film TV au Festival d’Auch 2005
● Mention spéciale au festival d’Annecy 2005
● Prix du meilleur film TV au festival de Kecskemét 2005
● Prix Special du Jury, 2005 China International Cartoon and Digital Arts Festival 2005

Le DVD comprend deux dessins animés : « cheval-soleil » et « Catfish blues », d’après le roman de Gérard Herzhaft, paru aux éditions du Seuil. On peut le commander sur le Net.

LE VENTRE DE L’ARBRE
Roman paru en 2005, chez l’Harmattan, dans la collection écritures

La montagne, un cheval de bois, un lutin, un renardeau, un torrent, un violon, la mort. Un Arbre.
Une vie de femme fragile et solide, attentive et solitaire. Femme bercée, portée, transportée par l’amour d’un arbre, entre rêve et cauchemar, entre féerie et réalité. Femme d’une bonté profonde, visitée par la tentation du mal. Femme sensible à tous les souffles de la vie.
Une très vieille femme aux portes d’une mort paisible dresse le bilan d’une vie intense où la nature vibre de tous ses oiseaux, de toutes ses fleurs, de toutes ses eaux.

CONTES ET LÉGENDES DU PAYS DES MILLE ÉTANGS
Recueils de contes et légendes de la Brenne,
paru en 2007 chez Royer, dans la collection contothèque
(épuisé)

Moitié-de-Jau, le Grand Bissexte, la Cocadrille, le Cheval-Malet, la magnifique légende du Bâtard des mines...
Le Pays des Mille Étangs immortalisé par ses légendes historiques où apparaissent le roi Dagobert, les seigneurs des châteaux de Lancosme et du Bouchet, sans oublier la fontaine de Saint Sulpice...

ASGRIM ET LE CHEVAL DÉROBÉ AUX DIEUX
roman paru en 2008 chez l’Harmattan Jeunesse

En Norvège, aux alentours de l’an 900, Asgrim, un jeune Viking, est chargé de s’occuper d’un poulain, Fugl, destiné au sacrifice rituel du solstice d’hiver, pour s’assurer les bonnes grâces des divinités du Nord.
Mais le garçon, en dépit des avertissements de son père, se lie d’une profonde amitié avec le cheval qu’il a renommé Sleipnir, du nom du coursier à huit jambes du dieu Odinn. Avec l’aide de son chien Osk, il prendra tous les risques pour sauver Sleipnir de son fatal destin.

SORTILÈGES AU PAYS DES MILLE ÉTANGS
recueil de témoignages paru en 2009 chez Alan Sutton

La Brenne foisonne d’histoires un peu mystérieuses. Il n’est guère de familles qui ne puissent raconter une anecdote concernant un jeteur ou un leveur de sorts, une panseuse de secrets, un faiseur d’orages. Les jeteurs de sorts étaient craints, et le sont sans doute encore un peu. Si certains en parlent volontiers, d’autres préfèrent se taire. Superstition ?
Sortilèges au pays des Mille Étangs donne la parole à ceux qui ont choisi d’évoquer des pratiques surnaturelles et séculaires.

LA TACHE VERTE
roman mêlant anticipation, fantastique et science fiction
paru en 2013 chez Alice Lyner Éditions

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An 2150. L’humanité a rejeté tout l’aléatoire et toute la cruauté de la nature. Elle vit paisiblement dans des villes-pyramides. Elle se nourrit exclusivement de plantes génétiquement modifiées, cultivées hors-sol dans des fermes-tours. Tout autour de ces villes, la terre est déserte. Il ne subsiste plus aucune plante ni aucun animal. Cependant, un grave danger menace ce monde d’où toute violence semble avoir été exclue : une immense « tache verte » dont l’existence (connue seulement du Gouvernement Mondial) est soigneusement cachée à la population afin d’éviter toute panique. Célio, un jeune et brillant botaniste, doit se rendre dans ce lieu inquiétant. Il est chargé par le Gouvernement Mondial de prélever des échantillons végétaux qui devraient permettre de découvrir une substance capable d’éradiquer cette menaçante « tache verte ». Là, Célio découvre avec stupeur que ce monde qu’il croyait exclusivement végétal abrite aussi d’autres formes de vie : des animaux, une petite communauté humaine survivant dans des conditions stupéfiantes, et d’inquiétantes « Intelligences Magiciennes »...

ET LE LIVRE D’OSWALD

Alors le voilà, LE livre responsable de toute cette aventure. Avec son titre à rallonge :

De la lourdeur dans la légèreté
et de la légèreté dans la lourdeur
L’AUTOCONSTRUCTION D’UN POELE DE MASSE et de soi-même
paru en 2008 aux éditions de la Chauffe-souris,
réédité en 2010, en version augmentée et améliorée.

Ben oui, c’est grâce à ce fameux bouquin que la Anne et le Oswald se sont connus !
Alors moi, Anne, je peux t’assurer à toi, lecteur de ce site, que si tu as très très envie de te construire toi-même un poêle de masse, même si tu n’as aucune notion de maçonnerie, avec ce bouquin, c’est possible ! Si j’ai l’air si sûre de moi, ce n’est pas par hasard, c’est parce que je l’ai fait !!! J’avais 53 ans, je n’avais jamais touché une truelle de ma vie, mais j’ai réussi. Le livre dans la main gauche, la truelle dans la main droite ! Mon poêle s’appelle Cocadrille, et il fonctionne superbement bien. Il en est à son quatrième hiver de chauffe.
Il existe bien sûr d’autres excellents livres pour qui s’intéresse à ce mode de chauffage. L’avantage de celui-ci, c’est qu’il t’explique brique par brique comment monter le tien. Un vrai jeu de construction.
C’est un bouquin très sérieux du point de vue technique, mais rédigé de façon très rigolote et très philosophique. Il a été écrit, paraît-il, par une Chauffe-Souris. La Chauffe-Souris ? C’est une drôle de bestiole dont tu peux admirer le portrait sur la couverture et à l’intérieur du livre. D’ailleurs, elle portait un nom de famille tout à fait prédestiné. Ah ? Tu ne comprends peut-être pas l’Allemand, cher lecteur français ? Alors je t’explique : « Heiz » signifie « chauffe » et « maus » signifie « souris ». Il paraît qu’Oswald, qui parle couramment la langue des chauffe-souris, s’est contenté de traduire l’ouvrage.

Anne
Mars 1014